84 % des recruteurs de cadres prévoient de galérer à la rentrée, profitez-en pour négocier !

Article écrit par AravatiAdmin2022

25 août

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8 entreprises sur 10 pensent qu’il leur sera difficile de recruter un cadre dans les mois à venir, vient de révéler l’Apec dans son dernier baromètre*. C’est 6% de plus qu’en mars 2022 et +28% par rapport à septembre 2020. Dire que le marché de l’emploi a basculé en faveur de certains candidats est un euphémisme. Si vous souhaitez changer d’employeur, c’est sans doute le moment de négocier une rémunération plus attractive, de meilleures conditions de travail, une organisation plus souple… Cadremploi a demandé à trois experts en recrutement ce qu’il était en ce moment réaliste de négocier lors d’un processus d’embauche. Voici leurs réponses.

84 % des recruteurs de cadres prévoient de galérer à la rentrée, profitez-en pour négocier!

Retrouvez les conseils de Hymane Ben Aoun, fondatrice et dirigeante du cabinet de recrutement Aravati

« Sur les métiers dits pénuriques, c’est un peu la fête du slip », prévient franchement Hymane Ben Aoun, dirigeante du cabinet Aravati, spécialisé dans le recrutement de talents digitaux.

Des exemples ?

« Deux candidats, jeunes diplômés, viennent de refuser un job de data scientist ouvert à 36 000 euros en fixe. Ils demandaient 40 000 euros. Ils ont du coup rejoint des start up », illustre-t-elle.

Et bonne nouvelle si vous êtes sur le marché, ce ne sont pas des cas isolés et de nombreuses fonctions sont concernées.

L’un des clients de Thibaud Chalmin, chasseur de tête au sein du cabinet Marignan Consulting, recherchait un avocat fiscaliste avec 2-3 ans d’expérience, payé 60 000 euros.

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